FEAT. pseudo, pseudo & pseudoIl fallait que je me retrouve seule, j’avais besoin de réfléchir. Cela fait maintenant quelques semaines que j’ai perdu mon clan mais je ne m’en remets pas… Certes le clan du volcan m’apporte toute satisfaction tout le monde est très sympathique avec moi !
Ce qui me turlupine c’est la manière dont sa a été fait, je suis sure en plus qu’il n’a même pas dis toute la vérité a notre chef de clan ! Voilà maintenant des envies de vengeance qui me prennent !
Il est tôt ce matin, tout doucement après ces funestes pensées, je me lève et me dirige vers la sortie du camp.
Personne ne s’est réveillé, très bien. A pas de loup, je me dirige vers mon nouveau endroit préféré, l’oasis, il est tellement reposant et en plus pas très loin du camp, je trottine fièrement en évitant gracieusement les cailloux incrustés dans le sable.
De temps en temps je lève la tête, le soleil n’est pas encore sortit mais je sens déjà que cela va être une très chaude journée, j’aime bien la chaleur mais à trop grosse dose c’est tellement fatiguant !
Enfin je continue ma route, à l’oasis je suis sûre qu’il va faire frais une bonne partie de la journée au moins ! Enfin j’arrive à distinguer au loin les palmiers, comme ils sont magnifique, dans le soleil levant, je les vois en contre-jour, on dirait une carte postale ! Je ralentis la cadence et m’approche tranquillement.
▬ « Aaah, comme je me sens bien ici »
J’écarquillais les yeux en réalisant que j’avais pensé à haute voix, heureusement il n’y a personne dans les environs.
Je me couche sous un palmier et c’est à ce moment-là que je me mets à penser, penser à ce salopard, si seulement j’avais eu l’occasion de m’expliquer avec le chef de clan mais je n’ai pas eu le courage de retourner là-bas, peur de ce qui aurait pu m’arriver.
Je vais m’entraîner dur maintenant pour voir de quel bois je me chauffe la prochaine fois que je le rencontrerai celui-là ! Mon expression du visage avait maintenant j’étais contrarié, sur ces bonnes paroles je reposais ma tête sur mes pattes qui étaient-elles croisées devant moi et fermais les yeux, je m'apaisais et je commençais à somnoler en rêvant du prince charmant que j’espérais toujours voir revenir vers moi… En ce moment précieux, je ne pensais plus à rien et je me délectais de cette tranquillité qui n’allait pas durer.