Mon coeur t'es dévoué
Car le seul tu es arrivé
A passer outre mes barrières
Si longtemps mises à ériger.
Et désormais, il ne peut revenir en arrière

Aujourd'hui j'ai découvert,
Grâce à ce mince lien,
Que rester à couvert
Ne sers plus à rien

Tout changer
Ou ne rien effacer,
Comment savoir,
Tout en étant dans le plus complet des noirs?

"Puisse le sort vous être favorable..."
Cette phrase n'a pourtant rien à voir avec ce que je ressens,
pour toi que je trouve adorable,
Mais quelque chose me dit,
Qu'elle n'est pas sans un sens caché de la vraie vie.

J'évite de me bercer d'illusions,
Même si le rêve est si doux,
car, je le crains, la désillusion
ne le sera pas du tout

Tout nous éloigne
Je t'aime,
Mon coeur n'en est pas moins au bagne,
Je ne suis plus la même

Pourquoi m'avoir donné un coeur,
Si c'est pour qu'il soit brisé?
Je n'ai que de la rancoeur,
Lorsque je te vois avec elles, attentionné

J'aimerais que tout recommence,
Comme l'année dernière
Même si ce n'est pas une romance.
Mon coeur ne fait plus le fier,
tous ces instants me manquent.

Ils ont l'habitude, les solitaire
De vivre sans êtres chers.
Mais lorsqu'on est pas si terre à terre
Comment peut-on faire?

Tu te foutais de moi,
C'est sûr.
Jamais tu n'as douté de toi
Et je n'étais pas assez mûre,
Pour comprendre que ça me donnerais
De pareils tourments, la douleurs dont ils sont extraits.

Tout comme les feuilles
D'automne deviennent orange
Et la neige tombe,
Je sens que je dérange,
Que le tout je le plombe.

Aujourd'hui, i la neigé.
Et dans mon coeur, tout était gelé.
Mais lorsque ma mémoire se tourne vers ton souvenir,
Mon visage s'illumine d'un sourire,
Et tout devient plus joyeux
Pour quelques instants, que rien, c'est mieux...

Je suis là,
Toujours pour toi,
Même si tu ne me vois pas,
Je suis là.

Combien de fois me suis-je imaginée,
Dans tes bras, le soir du bal?
Combien de fois me suis-je vue t'embrasser?
Et même si je sais que ce n'est que pure folie de ma part,
Je continue de rêver
et d'espérer
qu'un jour enfin tout se réalisera.

L'espoir, ça va ça vient
Et chaque jour tu m'en donnes un.
Mais lorsqu'il n'est pas là
C'est trop dur sans toi.

Mon coeur meurtri,
Ne sait plus à qui s'adresser.
Il pleure à l'infini,
terrassé par ce flot incessant
De sentiments inexistants.

La joie des autres fait souvent souffrir
Et ce n'est que durement repartir
Cette joie si trouvée
Dans ce monde si troublé.

Plic Ploc fait la pluie
Plic Ploc fait mon coeur
Plic Ploc fait la pluie
Plic Ploc il pleure

Imaginer ces heureux moments
est si plaisant
Même si ce n'est pas vrai,
Je le sais,
Et que sans doute ils ne se réaliseront jamais.

Ce qui ne me tue pas me rend plus forte
Et ton amour en est un bon exemple.
Avec toi, je suis entrée par la petite porte
Mais je suis ressortie par l'entrée du temple

Te savoir si proche physiquement
Mais si loin dans tes sentiments
Est un supplice si important
Que je ne saurais y survivre très longtemps

"Le temps passait ainsi, s'embourbant dans la monotonie des heures, des jours et des semaines"- Moi
"Si le Déluge s'abat sur mes joues, c'est que l'Apocalypse s'est déclenchée dans mon cœur" - Moi x)
"L'amitié est une âme en deux corps" - Aristote

Eh bien... une nouvelle année vient de passer. Qu'ai-je réellement appris de plus? Peut-être ai-je pris quelques connaissances scolaires de plus. Mais concrètement? On dit que la période de l'adolescence, c'est la période où l'on découvre plein de choses, où l'on passe par plein d'épreuves. Enfin, vous connaissez le refrain. Et que'est-ce que ça m'a apporté, dans mon expérience de la vie? je ne sais pas. Je viens de passer 4 ans dans ce collège, 4 ans où j'y ai eu de véritables amies. Des amies comme on en trouve qu'une seule fois dans sa vie, si on a cette chance. Et même si la distance nous sépare, nos coeurs et nos âmes restent liées les unes aux autres. Sans possibilité de les défaire. C'est la Bande, A.I.N.A.C.P.L Que de souvenirs...
Mais en plus de tout cela, j'y ai découvert un sentiment nouveau. L'amour. Ah qu'est-ce donc vraiment que l'amour? Un mot, une expression, un sentiment? Qui peut bien le dire? On pourrait philosopher des heures durant sur le véritable amour. Mais le trouver, trouver son âme soeur, doit être une quête éternelle. Enfin, je ne me proclame pas non plus lancée éperduement dans cette quête. Mais, une fois qu'on a goûter à l'amour, même si ce n'était pas réciproque et peu, on a envie d'y regoûter. De ressentir de nouveau cette sensation étrange, d'avoir le ventre qui se tord à son idée, le coeur qui bat plus vite en le voyant... De passer ces soirées à douter, à demander conseil auprès de ses amies... Oui, même cela, on en a envie. mais ce qui manque le plus, c'est ce sentiment étrange auquel on s'attache malgré nous, toujours à se demander si ça ira.
Ce sentiment qui nous fait savoir que nous sommes amoureux. Mais ce sentiment qui nous rend mélancolique et minable devant nous-même. Qui nous fait pleurer lorsque des chansons d'amour passent à la radio, qui nous fait envier les autres couples, qui nous fait rêver... Et qui peut nous pousser à tout révéler. Qui nous donne ce courage, cette force d'aller vers l'être aimé et de tout lui avouer. Qui nous permet de voler de nos propres ailes, parfois extrêmement près du bonheur, si près qu'on le croit à notre portée. Mais lorsqu'on tente de l'atteindre, on se retrouver avec des ailes en feu. Et commence alors une longue et lente chute où l'on finit par atterrir dans la souffrance. Souffrance qui s'estompe avec le temps mais qui nous laisse toujours une trace, une plaie parfois. Souffrance qui arrive parfois à disparaître, grâce à un autre amour ou une bonne dose d'amitié (x)
Mais là encore, c'est la même boucle qui recommence...  Encore et toujours, amour et souffrance, amitié et haine, tout se compte par deux, tout va par paire, tout va par contraste. Ombre et lumière vivent ensemble, en harmonie l'un avec l'autre. Mais pas dans la tête, ni dans le coeur. Et chaque fois, c'est un cycle pareil qui se joue. Joie, peine, amour, haine... Et ainsi de suite, depuis toujours et pour toujours.


Pathétique. Voilà le mot qui me vient à l'esprit lorsque je repense à notre relation. *Rire* Notre relation... N'importe quoi, j'me fais des illusions. Jamais tu n'as porté un regard sur moi. Du moins un regard où je pouvais déceler autre chose que... de la banalité. Oui, un regard normal quoi. enfin, revenons-en à nos moutons.
Tout commence en fin de 4ème. Déjà là, c'était pathétique. Tes petites tentatives. Ahah, n'importe quoi. Et pourtant, au fond de moi-même, ça a dû déclencher quelque chose. Tu étais bien la première à t'intéresser de cette façon à moi. Et voilà... Alors, cette année, ça a été quelque chose! Entre les moments où je doutais, ceux où je rêvais et ceux où je tentais, j'étais servie! Que de plans j'ai pensés... que de moments j'ai vécus! Et pourtant, quelques fois, tu m'as mis le doute... J'ai essayé, pour al St Valentin, de te faire passer un mot. J'ai été bien pathétique, ce jour-là! J'ai tenté, j'ai rêver. Et puis est venu ce fameux voyage en Italie.
Quatre jours où l'on est partis, les classes d'Italien et de chanceux latinistes. C'était magnifique, le Vatican, Rome, Florence. Ce soir, celui où je t'ai tout révéler, restera tout de même magique... Mais après cela, la vie a repris son cours normal Et puis est arrivée la fin d'année. Avec le bal. je voulais t'y inviter, faire de cette soirée un moment encore plus exceptionnel. Mais tu t'es fais virer parce que tu avais des pétards et que des idiots en avais fait péter. Enfin ,ce fut tout de même une magnifique soirée...
Et enfin, les jours du Brevet, le dernier surtout. Là, je voulais avoir la force et le courage, les me^mes que j'avais eu en Italie, pour te voir et t'embrasser. Mais je n'ai pas pu. j'en ai été triste un certain temps. Et puis, j'ai commencé à écrire, sur cette année. Et j'me suis rendue compte que ce n'était rien. Certes, j'ai eu des sentiments pour toi. Mais désormais, ils ne sont plus vraiment. Je vais partir sur une autre base, l'année prochaine. Ca s'ra mieux. Toi, t'étais quand même un gars sympa. Si jamais on se revoit, on pourra discuter. mais pas plus.
Je vais repartir sur une nouvelle base. Profiter de mes dernières années d'adolescence, aller vers les autre, changer. Je sais même peut-être déjà qui choisir, pour te remplacer... *Petit sourire en coin* Tu m'auras apporté une certaine expérience, a n'en point douter. Et elle me servira. Alors, continue bien toi aussi, de ton côté. j'suis pas rancunière. Et j'espère quand même qu'on restera en bon terme, toi qui as été mon premier amour.
Pathétique, j'vous l'avais dit, non? Dérisoire, risible, aussi. "L'amour est un cadeau" est-il dit dans La Reine des Neiges (oui, je sais, la culture qui tue). Encore faut-il tomber sur la bonne personne... Oh, peut-être prochainement pour moi?

Osselait est Solitaire. Même s'il est très jeune, il n'aime pas beaucoup la compagnie des Autres. Après avoir perd sa mère, il a commencé à devenir un peu associable. A s'éloigner des Autres. Ne plus vouloir croiser personne. Ca lui a fait un grand choc. Et pour recoudre cette plaie, il a préféré le fil et l'aiguille du combat. C'est un bagarreur, il a la combativité dans le sang. Il s(attaque parfois à plus fort que lui mais ne retient jamais la leçon. Lorsqu'il gagne contre quelqu'un de plus faible, il essaie de ne pas trop être vantard et lui renvoyer encore et toujours sa victoire. Même s'il a un peu de mal. Il n'est pas vraiment timide, un peu agressif oui mais si on passe cet avis de prime abord, on le découvre sympathique. Il est gentil, dans le fond. Mais ne le montre pas, car il a retenu une leçon de son père: les Pokémons gentils ne gagnent jamais. Il s'entraîne sans relâche, attaquant rochers, arbres, Pokémons. Malgré tout cela, il reste un très jeune Osselait qui a besoin de s'amuser et, lorsqu'il trouve un camarade de jeu, il est très heureux et tente de le garder.