Un nuage noir passe au dessus de ma tête. Puis un autre. Et encore un autre. C’est un véritable défilé d’atroces nuages sombres qui se déroulent devant mes yeux. Mais que se passe-t-il là haut ? Il a quelques jours, le temps a commencé à devenir désolant : les températures ont chutées quelque peu, le ciel azur et le soleil ont disparus et le vent souffle de plus en plus fort. Rien d’inquiétant. Jusqu’à maintenant. La météo n’est plus juste désolante. Elle est passée un niveau au dessus : elle est devenue carrément terrifiante. Les rongeurs sont moins présents, les félins peinent à les trouver. Comme si ils étaient partis. Ou qu'ils avaient fuis ? Les chatons restent dans la pouponnière près de leur maman, tellement ils ont peur qu’un de ces gros cumulus ne leur jettent un éclair à la figure. Les anciens marmonnent qu’ils n’ont jamais vu un truc pareil et que c’est l’apocalypse qui va nous tomber dessus. Les guerriers suivent l’exemple de Pelage Etoilé et d’Etoile de la Sirène : ils n’en parlent pas. Ce n’est pas la peine de commencer à nous affoler. Nous ne sommes surs de rien. J’ai peine à croire que la nature qui nous entoure pourrait nous faire du mal. Je ne sais pas encore à quel point je me trompe.

En ce matin gris et maussade, Nuage de Tempête me propose d’aller chasser. Proposer est un grand mot. Il n’attend même pas ma réponse avant de s’en aller. Je le suis, un mince sourire aux lèvres. Il a déjà l’étoffe du guerrier : puissant, sûr de lui. J’ai hâte que lui et Magellan rejoigne officiellement notre troupe de chasseurs. Ce seront de très bons éléments, cela ne fait aucun doute. Bientôt, bientôt. A la demande du novice (demande judicieuse d’ailleurs), nous nous dirigeons vers le champ aux papillons. J'aime cet endroit, il est calme et paisible. Et beau. Quoique sans soleil et sans magnifique ciel bleu, le champ parait un peu terne. Et, peut être que je me trompe et que je deviens parano, mais j'ai comme l'étrange sensation qu'il y a moins de papillons que d'habitude. Rapidement, Nuage de Tempête repère un rongeur. Il se place. J’observe ses mouvements et sa position. Sirène a fait du bon boulot. Comme à son habitude. Mais la souris fuit. Je relève la tête. Nous ne sommes pas les seuls à être aller chercher le calme en ce lieu. Une guerrière de la plage est présente. L’apprenti qui me tient compagnie s’approche d’elle, prêt à utiliser son jeu de séduction légendaire. Je l’observe, amusé, tout en offrant un sourire amical à la femelle au regard vert.

Le bruit du vent soufflant dans ma tanière me réveillais. Le Clan des Étoiles devait être en colère enfin je pense. Je sortais de la tanière des apprentis je faillis me faire emporter par le vent, limite il fallait planter ses griffes dans le sol pour ne pas se faire emporter. Il n'y avait personne dehors seulement moi, une écureuil s’accrochait comme il pouvait à l’écorce de l’arbre pour ne pas se faire emporter. J'hurlais dans le camp je m'en fichais si quelqu'un m'avait entendu. "POURQUOI ÊTES VOUS EN COLÈRE CONTRE NOUUUS." Une rafale de vent plus forte soufflait contre moi. Pourquoi c'était dur de comprendre se que voulait le clan des Étoiles. Le ciel était gris presque noir, un vent fou soufflait. J'avais envie de mener ma petite enquête pour comprendre pourquoi fait il se temps. Je partais donc me promener un peu partout, le même temps. Aller je vais aller près du Champ aux Papillons, pour voir si il fait le m^me temps. Le vent soufflais toujours n'allais t'il jamais s’arrêter de soufflait et si nous étions condamner à vivre avec ce vent. Nous mourrons tous de faim le vent faisait fuir toutes les proies. L'odeur du Clan du Volcan, puis de la Plage. Je n'étais donc pas le seul à être venu ici pour comprendre ce qu'il se passer. Je m'approchais du groupe, je reconnais  Nuage de Tempête et Dignité du Condor, par contre l'autre chat du clan de le Plage aucune idée de sont nom, on va faire comme si je ne le connaissais pas.
«Salut à tous, vous ne trouvez pas que se temps est effrayant ? »